Jacques la regardait quand un sentiment complexe a glissé dans ses yeux. Quelques secondes après, il a ricané avec mépris : « Annabelle, j’ai vu toutes les parties de ton corps. »
« Salaud. » Elle s’est habillée le plus vite possible et regardait Jacques avec un air fâché.
Ensuite, l’infirmière est entrée dans la chambre : « Monsieur, ne dérangez pas cette patiente, elle doit se reposer. »
Jacques n’a pas répondu et regardait toujours Annabelle. Il ne pensait qu’à une seule chose : elle était saine et sauve, elle n’était pas morte, elle pouvait encore proférer des insultes. À ce moment-là, ses yeux sont devenus de plus en plus froids.
Il posait ses regards froids sur le visage fâché d’Annabelle. Bien que fâchée, elle restait toujours jolie et charmante.
« Madame Rouvroy, connaissez-vous ce monsieur ? Sinon, je pourrais faire venir les agents de sécurité de l’hôpital. » a demandé l’infirmière, responsable.
Annabelle a respiré profondément : « Oui, je le connais.