Chapitre 105
Une demi-heure plus tard, au poste de la police locale.

Annabelle avait déjà compté quelques mille moutons, tout d’un coup, elle a entendu quelqu’un venir dans le couloir. Ensuite, quelqu’un a poussé la porte à l’extérieur. Jacques est venu, derrière lui, la lumière du couloir l’avait couvert.

« Monsieur, vous avez dix minutes pour parler avec elle. » À ces mots, le policier a fermé la porte.

Dans la chambre, il faisait très sombre. Seulement une lumière illuminait le visage d’Annabelle. Jacques la regardait et la trouvait à la fois tranquille et piquante à ce moment-là.

En effet, elle risquait d’être arrêtée, voire condamnée à la prison par la police locale. Mais elle n’avait pas du tout peur et croyait certainement qu’il allait la sauver.

Ensuite, le froid s’est emparé de nouveau de ses yeux. Il s’est assis devant elle : « Annabelle, as-tu bien réfléchi ? »

Annabelle a souri : « Personne ne déteste l’argent. »

Il a cligné les yeux, parce que son ton l’a mi
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