« Tu sais bien qui m’a dérangée ! » Très fâchée, Céline a crié et a raconté tout ce qui s’était passé. Mais Viviane demeurait muette tout au long de l’appel : « Es-tu sourde maintenant ? Tu m’entends ou pas ? » « Non, non, dis donc, Céline, maintenant que j’ai un peu d’argent, je te le donne . Tu achètes ces photos immédiatement, ensuite, tu peux … » Ayant entendu les idées de Viviane, Céline avait un air plus tranquille. … Annabelle jouait encore sur Jacques avec patience et n’avait pas encore dit comment elle pouvait contrôler Céline. En effet, pendant sa dernière année en prison, elle avait appris beaucoup de choses et avait rencontré plusieurs personnes spécialisées dans le monde des affaires. Depuis qu’elle avait ruiné leurs fiançailles, elle avait demandé à ses amis d’enquêter sur Céline, et avait obtenu ces photos sans aucun problème. En fait, elle avait encore beaucoup de choses, mais elle était très patiente et voulait prendre son temps. Elle voulait vo

« Mon Dieu, c’est vrai ? » Céline avait un air excité, mais avant qu’elle ait rouvert la bouche, Jacques était déjà parti. Elle s’est de nouveau mise en colère, car elle avait entendu une telle bonne nouvelle par Annabelle. À ce moment-là, devant la sortie, il y avait une femme mince portant un chapeau et un masque, elle couvrait très bien son visage. Mais Annabelle l’a reconnue tout de suite, c’était certainement Viviane. En effet, Viviane avait déjà décidé de passer le reste de sa vie avec Emmanuel, ainsi, elle cherchait toujours à flatter Céline. Mais bien qu’elle fasse tant d’efforts, cela ne servait à rien. Annabelle a ricané, en pensant au cadeau qu’elle avait préparé pour la famille des Blanc, elle se sentait de mieux en mieux. Elle n’était plus dérangée par la présence d’Eva, qui la suivait toujours. « Annabelle, où vas-tu maintenant ? Je t’accompagne. » Léo ne s’intéressait qu’à elle. « Je vais à l’hôpital pour rendre visite à une amie. Tu ne dois pas venir

« Tu me donnes cela ? » Annabelle a pris l’enveloppe, qui ne contenant que six cents euros. Elle ne savait pas si c’était le fruit de l’avarice d’Emmanuel, ou de la stupidité de Viviane. « Oui, ma chère Annabelle, tu le sais bien ! Je ne suis pas du tout riche, en plus, pendant cette période-là, je n’étais pas la femme de ton père, et je ne pouvais pas m’occuper de son enterrement. Bien que je reste dans la famille des Rouvroy, je ne servais à rien, tu le sais ? » Ayant entendu sa réponse, Annabelle a tout compris. En effet, Viviane voulait qu’elle se venge des autres au lieu de troubler sa vie de riche. Annabelle a caché l’air méprisant au fond de ses yeux, et a feint d’être désolée : « Mais mon père t’a laissée quelque chose, et il m’a demandé de te la donner. » « C’est quoi ? » Viviane avait un air heureux, à sa grande surprise, elle pouvait encore recevoir quelque chose d’Antoine. Mais elle a tourné la tête vers la Villa des Blanc et a fait un rire jaune, « Ma pauvre An

En effet, Annabelle prenait vraiment Yveline pour sa première amie depuis sa sortie de prison. Auparavant, en dehors de la conception, elle n’avait choisi que ce qui lui plaisait : même le mari. À ce moment-là, elle avait été trop orgueilleuse pour savoir que Jacques ne l’aimait pas du tout. Elle était jolie, bien cultivée et riche, mais il haïssait la famille des Rouvroy. Elle a froncé les sourcils, une larme a coulé sur sa joue. La nuit était tranquille. Yveline a dit quelque chose, mais Annabelle ne l’entendait pas clairement. Le lendemain matin, après s’être lavée dans les toilettes, Annabelle s’est précipitée à la compagnie. Son portable vibrait sans cesse, c’était les nouvelles sur Twitter. « Le Groupe Jac a annulé le contrat avec le Groupe Blanc. » « La construction du nouveau bâtiment du Groupe Jac est arrêtée. » « Maxime, riche magnat de l’immobilier, a un rendez-vous avec une femme, mais fait un accident de voiture. Pourquoi ? » Elle a baillé e

« Coopère avec moi. Je suis comme toi, je hais aussi Jacques. » Une demi-heure plus tard, Annabelle se dirigeait vers son appartement. Elle pensait sans cesse à ce que Nicolas avait dit, en effet, sa condition était très séduisante. Si elle avait les faveurs du professeur, avec sa capacité propre, elle serait sans aucun doute la gagnante. « Faut-il que j’accepte sa demande ? Mais s’il me tend un piège ? » En y pensant, elle marchait de plus en plus lentement. Tout d’un coup, une voiture noire s’est arrêtée devant elle, et la portière s’est ouverte. Arthur est descendu de la voiture : « Madame Rouvroy, Monsieur Breteuil vous invite à le voir. » Elle regardait les trois agents de sécurité dans la voiture, et a ricané : « Arthur, ce n’est pas une invitation, je crois. » Il n’a rien répondu et a levé la main. Elle n’avait pas le choix. Regardant la portière se fermer, elle a mis sa main dans son sac, mais tout d’un coup, quelqu’un a saisi brutalement ses mains et lu